Les visages derrière les super-pouvoirs
Nous avons posé une question à nos collègues de bureau: «Comment renforcerais-tu les femmes du monde entier, si tu avais un super-pouvoir?»
Nous avons posé une question à nos collègues de bureau: «Comment renforcerais-tu les femmes du monde entier, si tu avais un super-pouvoir?»
Dans le monde, près d’un enfant sur cinq est en fuite ou vit dans une zone de conflit. Des affrontements mortels comme en Ukraine, en Syrie, dans la bande de Gaza ou au Yémen ainsi que des catastrophes naturelles en augmentation les obligent à quitter leur foyer sur des itinéraires d’exil dangereux. Ils.Elles cherchent la protection dans d’autres pays, y compris en Suisse. Mais l’arrivée n’est pas toujours simple, car les enfants ont dû quitter tous leurs repères: leurs amis, leur école et leurs jouets.
En 2023, 12'466 nouvelles demandes d'asile en Suisse ont été déposées par des enfants – c'est plus d'une demande sur trois en Suisse. Beaucoup de ces enfants arrivent en Europe en empruntant des routes parfois dangereuses et vivent dans des conditions précaires dans des centres d’accueil suisses.
Valeria Kunz dirige depuis neuf ans les programmes d’éducation internationaux de Save the Children Suisse. Lors de l’interview, elle explique pourquoi l’éducation, en temps de crise, donne de l’espoir, voire même pourquoi elle peut sauver des vies, et quelles solutions créatives nous utilisons pour permettre aux enfants d’accéder à l’apprentissage.
Un camion transportant 45 000 bouteilles d'eau de Save the Children est arrivé dans la bande de Gaza le 29 octobre. Il fait partie d'un petit groupe de cargaisons d'aide qui ont été autorisées à entrer par le point de passage de Rafah.
La situation au Proche-Orient ne cesse de s'aggraver. Plus de 1'000 enfants ont péri à Gaza. Les réserves d'eau se raréfient et les hôpitaux travaillent à la limite de leurs capacités. Nous voulons aider – mais ce qui manque, c'est un accès sûr à la population.
Les enfants d'Israël et des territoires palestiniens paient le plus lourd tribut face à la montée de la violence dans leur région. Save the Children craint notamment des conséquences importantes sur leur santé mentale.
Dominik Weidkuhn travaille, chez Save the Children Suisse, au sein de l’équipe Partenariats d’entreprise et a récemment visité quelques-uns de nos projets au Bangladesh en compagnie d’un partenaire. Dans cette interview, il explique comment au juste Save the Children assiste les enfants et leurs familles au Bangladesh et ce qui l’a le plus impressionné lors de sa visite.
Ici, la santé des bébés et de leurs mères est une priorité: dans le plus grand camp de réfugiés du Rwanda, des césariennes peuvent désormais être pratiquées grâce à une structure médicale. Rien qu’au cours des trois premiers mois suivant la mise en service, la vie de 93 bébés a ainsi pu être sauvée.
Grâce aux chèvres, les mamans en Ouganda peuvent nourrir leurs enfants avec du lait de chèvre et ainsi leur fournir suffisamment d’aliments riches en nutriments. Les familles affectées par la crise alimentaire bénéficient d’un soutien et peuvent prévenir durablement la malnutrition chez leurs enfants.